Le rôle de la zoothérapie dans l’évaluation psychoéducative

À ce jour, il est relativement difficile de trouver des études empiriques valides dans la littérature scientifique sur la zoothérapie. Il est récent que le domaine des sciences sociales s’intéresse à cette pratique. Les écrits que nous trouvons à ce sujet sont pour la plupart anecdotiques ou s’ils sont appuyés scientifiquement, ils ne concernent pas nécessairement le rôle de la zoothérapie dans l’évaluation psychoéducative.

Ainsi, Boris Levinson, le «père» de la zoothérapie, a été officiellement le premier clinicien à utiliser et documenter l’apport du chien dans le développement de l’alliance thérapeutique entre le thérapeute et son client, dans les années 60 (Mallon, 1994 cité dans Zilcha-Mano, 2013). La zoothérapie est en effet une approche prometteuse puisque qu’elle a fait ses preuves à bien des égards, tant sur le plan de l’intervention directe que des bénéfices collatéraux. Nous affirmons que l’un de ces bénéfices est l’apport de la zoothérapie dans la construction d’une évaluation psychoéducative.

Les éléments qui valident notre hypothèse proviennent ici d’expériences cliniques recueillies dans différents textes qui traitent sérieusement de l’impact de la zoothérapie sur différentes clientèles et proviennent également de l’expérience de l’auteure de ce texte qui travaille au sein de Zoothérapie Québec, organisme qui agit comme chef de file dans son secteur d’activités.

Introduction

Boris Levinson, le «père» de la zoothérapie, a été officiellement le premier clinicien à utiliser et documenter l’apport du chien dans le développement de l’alliance thérapeutique entre le thérapeute et son client, dans les années 60 (Mallon, 1994 cité dans Zilcha-Mano, 2013). La thérapie assistée par l’animal, ou zoothérapie, a fait depuis l’objet de plusieurs publications dans la littérature en psychologie et en intervention sociale bien que peu soient des études empiriques valides. La zoothérapie est en effet une approche prometteuse puisque qu’elle a fait ses preuves à bien des égards, tant sur le plan de l’intervention directe que des bénéfices collatéraux. Nous affirmons que l’un de ces bénéfices est l’apport de la zoothérapie dans la construction d’une évaluation psychoéducative. L’auteure s’appuiera sur son expérience au sein de Zoothérapie Québec (organisme qui agit comme chef de file dans son secteur d’activités), entres autres éléments, afin de confirmer l’hypothèse posée ci-haut. Dans un premier temps, le concept de zoothérapie sera défini ainsi que le concept d’observation. Ensuite, le rôle de la zoothérapie dans l’observation psychoéducative sera expliqué. Finalement, les outils et instruments de mesure dans ce domaine et le soutien empirique en lien avec notre hypothèse seront abordés.

La zoothérapie

La zoothérapie est un terme relativement récent dans la littérature scientifique et nécessite d’être défini. Il s’agit d’une « intervention qui s’exerce sous forme individuelle ou de groupe, à l’aide d’un animal familier soigneusement sélectionné et entraîné, introduit par un intervenant qualifié auprès d’une personne en vue de susciter des réactions visant à maintenir ou à améliorer son potentiel cognitif, physique, psychologique ou social» (Martin & Brousseau, 1998). Cette définition semble faire consensus au sein de la communauté scientifique selon Amiot, Duquette et Maurer (2013, dans Arenstein, 2013). Il existe des liens naturels entre les humains et les animaux. La zoothérapie utilise cette relation pour travailler des objectifs thérapeutiques ou faciliter le développement d’une alliance thérapeutique, par exemple (Bernatchez & Brousseau, 2013). La zoothérapie (ou thérapie assistée par l’animal, ou TAA) est à ne pas confondre avec l’animation assistée par l’animal (AAA) car cette dernière n’assure pas la conduite de l’intervention par un professionnel de la relation d’aide et ne poursuit pas d’objectifs thérapeutiques.

 

L’observation dans l’évaluation psychoéducative

Selon Dulude et Fontaine (1974, dans Renou, 2005), l’«évaluation est, au sens large, un processus mental qui consiste à porter un jugement de valeur sur un objet ou sur une personne». Dans l’évaluation psychoéducative, il s’agirait donc d’une recherche d’informations dans le but de poser un jugement, une appréciation clinique juste et précise des forces et limites d’un individu. Selon Renou (2005), l’évaluation aurait trois fonctions: celle d’établir un inventaire des acquis, des forces et des limites de l’individu; la formulation d’une hypothèse diagnostique; et finalement, la prévision d’une tendance développementale chez l’individu (le pronostic). Il est entendu qu’une démarche exhaustive doit s’intéresser à toutes les sphères de développement du sujet. Il faut également explorer plusieurs sources d’informations pour pouvoir poser un jugement clinique appuyé. En effet, non seulement l’utilisation d’un instrument de mesure valide et fiable est nécessaire, mais aussi faut-il une observation comportementale rigoureuse de l’individu dans son environnement ou en situation contrôlée.

Selon Pellegrini (2004), le psychoéducateur doit comprendre son sujet avant d’intervenir. Ainsi, les «méthodes observationnelles sont un outil indispensable» dans cette compréhension clinique. Par exemple, elles pourront aider à identifier la nature du contexte dans lequel certains comportements apparaissent. Dans un contexte d’observation se déroulant durant une période d’intervention en zoothérapie, l’observation non structurée peut être aussi bien utilisée que l’observation structurée, cette dernière ciblant précisément les unités d’analyse, les critères, les moments, etc. (Fortin, 2006). Elle consiste à «recueillir de l’information sur les comportements à un moment qui est jugé opportun» (Bouchard & Cyr, 1998, dans Fortin, 2006). L’observation structurée prend la forme d’observation participante ou directe. L’observateur «participant» s’intègre dans le moment vécu par le sujet, cette intégration étant directe et personnelle (Fortin, 2006). L’observation directe est faite «au moment où l’observateur observe des comportements précis du sujet dans une environnement donné». Il ne s’agit pas de données partagées par d’autres personnes, mais bien de données recueillies par l’intervenant lui-même, dans un contexte hors interactions (Desruisseaux Rouillard, 2012).

La zoothérapie offre un cadre ouvrant des portes parfois impossibles à explorer dans un contexte clinique régulier (école, établissement de santé, CLSC ou autre). Pour illustrer notre propos, quelques exemples de clientèles desservies en zoothérapie seront présentés. La clientèle jeunesse d’abord, et aînée ensuite.

 

Le rôle de la zoothérapie dans l’observation participante

Nous le savons, les enfants doivent apprendre à identifier leurs émotions et à les exprimer adéquatement au fil de leur développement socio-affectif. Pour les enfants souffrant de problématiques dans cette sphère de leur développement, cet apprentissage est en péril. Les intervenants doivent outiller ces enfants, mais doivent avant tout mettre le doigt sur la problématique vécue si elle n’est pas extériorisée clairement. Selon Geneviève Sabourin (dans Arenstein, 2013), travailleuse sociale, le jumelage entre un enfant et un chien peut, dès les premières minutes d’interactions, donner accès à des informations pertinentes pour la suite de l’intervention. En effet, en observant une fillette de 11 ans interagir avec son chien, elle a pu cerner un état émotif négatif qui a été ensuite exploré avec elle. L’animal peut en effet servir d’outil de projection, l’enfant transposant ses états émotifs ou ses pensées sur lui en lui prêtant des intentions, des sentiments, etc. Par exemple, «ton chien a mal», «ton chien me veut du mal», «ton chien est triste, il ne veut pas jouer avec nous, il veut rester seul», etc. De plus, lorsque l’animal est significatif pour l’enfant, il peut faciliter la démarche thérapeutique et aider l’enfant à prendre contact avec ses émotions. Par exemple, dans les cas d’enfants qui souffrent d’un trouble d’attachement, les mécanismes de défense ou les stratégies relationnelles qui résultent d’un attachement insécure peuvent être transposés dans la relation avec le thérapeute. Certains auteurs sont d’avis que l’introduction d’un animal dans la dyade thérapeutique faciliterait l’ouverture et le développement d’un lien de confiance dans cette relation et donc faciliterait l’accès au contenu interne de la personne. Plus encore, si les expériences antérieures avec un animal de compagnie ont été positives, cette dyade qui devient une triade thérapeutique permettrait la création d’un lien d’attachement sécure, la réévaluation et la modification des tendances maladaptives d’attachement chez la personne (Zilcha-Mano, 2013). Levinson et Mallon (1997, cité dans Zilcha-Mano, 2013) affirment que la relation avec un animal est bien plus souvent qu’autrement caractérisée par la simplicité, la prédictabilité, la consistence et la valorisation, ce type de relation étant prescrit pour ceux qui souffrent d’une dynamique d’attachement insécure. Avec un animal, ils ont donc la chance de se sentir sécurisés, acceptés et aimés, en plus de voir le risque de projeter leur schème d’attachement sur l’animal diminué (Zilcha-Mano, 2013). Cette nouvelle relation viendrait créer un pont entre le thérapeute et le client, en facilitant la communication de contenu interne, et en faisant une utilisation projective de l’animal comme par exemple: «Pollux aimerait savoir…?», «Comment se sent Pollux?», «Pourquoi Pollux a décidé de faire cela?» (Zilcha-Mano, 2013). Le lien de confiance se créée alors graduellement et en douceur, de façon non menaçante. Il y a donc moins de résistance qui s’exprime lors des premiers contacts avec l’enfant. Sans l’animal, ce genre d’opportunité d’ouverture sur soi peut arriver plus tard, plus difficilement. La présence de l’animal dans la relation, en plus de faciliter l’instauration du lien d’attachement avec le thérapeute en accélère ici l’établissement. Le processus thérapeutique s’en voit donc ici optimisé.

Deux exemples, tirés d’expériences cliniques vécues par l’auteure nous permettront de mieux saisir le rôle que peut jouer une intervention en zoothérapie chez un enfant dont le diagnostic est inconnu et dont on tente difficilement de saisir ses besoins et le sens de ses comportements perturbateurs. Le premier exemple concerne un enfant de presque 4 ans qui avait été référé au service de santé mentale d’un CLSC de Montréal. La psychoéducatrice chargée de son dossier l’avait rencontré à quelques reprises dans son bureau et en situation de jeux structurés afin de pouvoir l’observer et recueillir des données. Elle a référé cet enfant en zoothérapie afin que l’on collabore à l’évaluation. La psychoéducatrice référente étant présente dans le local d’intervention et assistée de deux observateurs, a été en mesure de voir l’enfant agir naturellement avec le chien et évoluer dans une activité stimulante et significative, différente de celles proposées dans les locaux du CLSC. Les interactions entre le chien, l’enfant et l’intervenante en zoothérapie ont finalement permis aux observateurs de poser une hypothèse diagnostique en lien avec l’hypersensibilité aux bruits chez l’enfant et d’éliminer d’autres hypothèses diagnostiques.

Dans une unité de psychiatrie pour adolescents d’un hôpital de la rive-sud de Montréal, la zoothérapie a permis également au psychiatre de préciser le diagnostic d’un jeune ayant des symptômes de personnalité antisociale parmi d’autres grâce aux observations de la psychoéducatrice et de l’intervenante en zoothérapie. Durant le jeu de balle (moment qualifié comme un moment de plaisir et une récompense pour le chien à la fin de la séance), l’adolescent se comportait de façon non appropriée et avait des intentions négatives envers le chien chez qui il s’amusait à provoquer de la frustration dans le jeu. Aussi, lors d’un exercice où le jeune devait donner un ordre au chien («assis») en utilisant différents tons de voix (amusé, triste, fâché, etc.), il était très difficile pour lui d’exprimer l’émotion voulue. Ainsi, en observant ses interactions naturelles et spontanées avec le chien (animal significatif pour l’adolescent en question), l’équipe a pu préciser ses schèmes comportementaux et sociaux.

Dans un contexte tout autre, soit les résidences pour aînés en perte d’autonomie ou les centres hospitaliers, les intervenants en zoothérapie peuvent aider les équipes de soins à maintenir à jour les informations sur leur clientèle qu’ils connaissent déjà ou qu’ils viennent d’accueillir sur leurs unités. L’évaluation est constante -de façon structurée ou non-, surtout au niveau de l’évaluation des soins à apporter et des besoins à répondre pour cette clientèle complexe. Un programme de zoothérapie implanté dans ce type de milieu de vie peut bonifier l’évaluation des capacités réelles de l’aîné afin de guider le personnel soignant. Il peut donc arriver qu’on réfère ces nouveaux résidents en zoothérapie afin de sonder leurs intérêts, leurs capacités et leurs limites dans un contexte différent de l’évaluation traditionnelle. Cette approche est sécurisante pour l’aîné et facilite son adaptation à son nouveau milieu de vie lorsque l’animal est significatif pour lui. En effet, l’animal suscite de vives réactions, ramènent des souvenirs empreints d’émotions, stimule l’éveil et invite l’aîné à se poser dans l’action. L’intervenant qualifié en zoothérapie utilise ces situations pour valoriser l’aîné et le renforcer. Il peut s’agir d’observer les capacités motrices en marchant avec le chien ou en lui donnant certaines tâches reliées à l’animal. Il peut aussi observer les capacités au niveau de la communication, de la mémoire et des fonctions cognitives en général. De telles opportunités favorisent l’apparition de comportements adaptés, positifs, qui ne s’expriment parfois pas nécessairement au quotidien surtout quand l’aîné dont l’état de santé physique ou cognitive s’est alourdi n’est pas inscrit dans la programmation régulière d’activité.

Selon notre expérience, il est possible aussi que la présence de l’animal soit sécurisante et facilite le lien de confiance pour la passation d’un questionnaire ou d’une échelle d’évaluation. Par exemple, la zoothérapie peut aider l’infirmière à compiler des données précises sur un aîné chez qui il faut surveiller régulièrement les paramètres propres à sa maladie. C’était le cas d’un aîné hébergé en institution à qui nous devions passer un test concernant l’humeur dépressive. Le questionnaire avait été passé à cet aîné après quelques rencontres individuelles en zoothérapie afin de créer un lien de confiance d’abord. Ainsi, il a été possible de créer avec lui des liens entre son vécu et l’univers du chien par la suite, comme par exemple, son attitude générale face aux défis du quotidien vs. la persévérance du chien dans un jeu de recherche (jouet). Aussi, l’échelle d’évaluation unifiée pour la maladie de Parkinson (Voyer, 2013) comporte plusieurs volets qui peuvent s’observer en contexte de zoothérapie. On peut observer les altérations ou les capacités résiduelles reliées à la marche et la démarche (lors d’une promenade en laisse avec le chien), ou encore au niveau de la rigidité motrice ou du tapotement des doigts (lorsque que l’aîné touche le chien). Le Mini-examen de l’état mental, utilisé lors des premières évaluations des capacités cognitives, peut aussi s’appuyer sur des observations faites en contexte de zoothérapie. L’orientation spatio-temporelle (lors d’une marche en laisse), en est un exemple.

En résumé, les interactions avec un chien peuvent déclencher une communication non-verbale riche en informations sur les personnes observées (Beiger & Jean, 2011): «La gestuelle et les postures indiquent les intentions d’accueil, de rapprochement ou de rejet et de menace. […] L’utilisation de l’espace c’est-à-dire la distance à l’autre, l’espace occupé ou non, jouent un rôle et la distance plus ou moins grande que la personne établit peut être révélatrice de ses difficultés.» Ainsi, en observant les comportements de l’enfant ou de l’adulte à l’égard de l’animal, il est possible de cerner ses tendances socio-comportementales (l’entrée en relation avec le chien, le plaisir éprouvé, le respect des consignes, la qualité de ses habiletés sociales, le contrôle de ses émotions), son niveau cognitif (compréhension du discours verbal, des consignes, résolution de problèmes, le maintien de son attention sur une tâche), son niveau d’empathie (sa capacité à prendre soin, à se mettre à la place de l’autre, à comprendre les réactions ou émotions du chien, d’adapter son comportement aux réactions ou aux émotions du chien, le toucher adéquat ou non), ainsi que ses habiletés motrices (motricité fine, mobilité, équilibre, exécution des mouvements lors de tâches effectuées avec l’animal comme l’alimentation, la marche en laisse et le brossage).

 

Outils et instruments d’évaluation disponibles en zoothérapie

Il n’existerait pas encore d’instruments de mesure validés et standardisés en zoothérapie. Les intervenants en zoothérapie doivent user de créativité pour construire des outils d’évaluation maison et adaptés aux différentes clientèles qu’ils desservent. Cependant, rien n’empêche d’utiliser des instruments de mesure déjà utilisés par les milieux de soins et d’en adapter les observations aux interventions de zoothérapie, qui constituent un cadre clinique d’observation alternatif comme mentionné dans la section précédente.

 

Soutien empirique

À ce jour, il est relativement difficile de trouver des études empiriques valides dans la littérature scientifique sur la zoothérapie. Il est récent que le domaine des sciences sociales s’intéresse à cette pratique. Les écrits que nous trouvons à ce sujet sont pour la plupart anecdotiques ou s’ils sont appuyés scientifiquement, ils ne concernent pas nécessairement le rôle de la zoothérapie dans l’évaluation psychoéducative. Les éléments qui valident notre hypothèse que la zoothérapie puisse bonifier l’observation comportementale d’une personne proviennent ici d’expériences cliniques recueillies dans différents textes qui traitent sérieusement de l’impact de la zoothérapie sur différentes clientèles et proviennent également de l’expérience de l’auteure de ce texte.

Conclusion

Différentes méthodes s’offrent au psychoéducateur pour dresser un portrait complet de la personne qu’il évalue: les entrevues et les questionnaires, les instruments de mesure quantitatifs ou encore les observations directes ou indirectes. Le psychoéducateur doit donc user de créativité. En effet, il ne doit pas négliger les sources d’information alternatives et doit explorer le plus d’avenues possibles dans sa collecte de données. Nous avons de bonnes raisons de croire que la zoothérapie (ou thérapie assistée par l’animal) est un moyen à considérer si la méthode utilisée est l’observation. L’interaction avec un animal peut favoriser l’expression des émotions, l’expression de comportements (positifs ou négatifs) et faciliter l’accès à la sphère intérieure de notre sujet d’intervention. L’intervenant ou l’observateur peuvent alors utiliser le vécu partagé avec l’animal pendant la rencontre comme source d’informations pour dresser un meilleur portrait psychologique, affectif ou social de la personne. Il s’agit d’une méthode parmi d’autres que nous considérons comme non-menaçante, non intrusive et facilement applicable lorsque l’intervenant est qualifié. L’intervenant doit en effet posséder de solides compétences en zoothérapie, mais aussi savoir utiliser les événements qui se produisent en intervention et les analyser dans le but de poser un jugement clinique. Ses compétences permettront d’optimiser l’apport de la zoothérapie dans son évaluation psychoéducative car peu d’études probantes sont disponibles à ce jour dans ce domaine. Souhaitons que l’engouement récent pour ce domaine d’intervention soit propice au développement de la recherche sur la zoothérapie.

BIBLIOGRAPHIE :

Arenstein, G-H. (2013). Communication authentique entre êtres humains, Éditions Marcel Broquet, Québec

Beiger, F. et Jean, A. (2011). Autisme et zoothérapie; communication et apprentissages par la médiation animale, Dunod, France

Bernatchez, A. et Brousseau, C. (2013). La zoothérapie. Dans Voyer et col. (2013). Soins infirmiers aux aînés en perte d’autonomie, Éditions du Renouveau Pédagogique, 2e édition, Saint-Laurent

Desruisseaux Rouillard, F. (2012). Observation. Dans Unipsed.net. Repéré à www.unipsed.net/index.php/articles/223-observation

Fortin, M-F. (2006). Fondements et étapes du processus de recherche. Éditions Chenelière Éducation, Montréal

Martin, F. (1998). La zoothérapie de A à  Zoothérapie Québec, Zoothérapie Québec, Montréal

Pelligrini D., A. (2004). Observing children in their natural worlds; a methodological primer, Lawrence Erlbaum Associates, United States of America

Renou, M. (2005). Psychoéducation; une conception, une méthode. Éditions Béliveau, Montréal

Voyer, P. et col. (2006). Soins infirmiers aux aînés en perte d’autonomie: une approche adaptée aux CHSLD, Éditions du Renouveau Pédagogique, Saint-Laurent

Zilcha-Mano, S. (2013). Animal-assisted psychotherapy from an attachment perspective. Animal-assisted psychotherapy; therory, issues, and pratice, Purdue university press, United States of America

 

Comment citer

Hétu, R. (2015). Le rôle de la zoothérapie dans l'évaluation psychoéducative. Dans Unipsed.net. Repéré à http://www.unipsed.net/?p=8018

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